> Salut Bernard,
> Ton article , avec le discours de Gentil me ramène à un souvenir moins drôle.
>
> Arrivés en convoi par les camions du 1er Train de Dupleix (Perms de Noël 1961), on était rassemblés par sections sur le parking de la gare, ayant reçu l'ordre formel de ne pas sortir des rangs...
> Je me suis alors faufilé jusqu'au Bar-Tabac pour acheter des choses utiles pour passer agréablement le temps dans le train (Clopes etc..).
> Quand je suis revenu, progressant comme à l'aller au travers des colonnes de section, je me suis fait harponner par un sous-officier de l'encadrement! Il m'a rappelé l'interdiction de sortir des rangs. Je lui ai répondu qu'étant en permission, j'avais bien le droit à un peu de liberté... Puis je me suis éclipsé rapidement.
>
> Au moment où je montais dans la train, une main m'a saisi au col du manteau. C'était le sous-officier qui m'avait auparavant interpellé sur la place.
> Il me dit "c'est toi qui n'était pas d'accord, tout à l'heure?". J'ai été franc, je lui ai dit "oui"! Je n'aurais pas dû, mais à 15 ans on devient rebelle...
>
> J'ai été ramené à l'école où j'ai passé le réveillon de Noël avec d'autres punis ou sans famille d'accueil... Nous avons eu un repas amélioré avec les moineaux tirés à la carabine, dans le quartier, et cuisinés par le sergent-chef (de la Légion) CARABELIOS...>
> Ce n'est que le lendemain de Noël que l'on m'a remis dans le train!>> Amitiés>
> JP Bariller
> Ton article , avec le discours de Gentil me ramène à un souvenir moins drôle.
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> Arrivés en convoi par les camions du 1er Train de Dupleix (Perms de Noël 1961), on était rassemblés par sections sur le parking de la gare, ayant reçu l'ordre formel de ne pas sortir des rangs...
> Je me suis alors faufilé jusqu'au Bar-Tabac pour acheter des choses utiles pour passer agréablement le temps dans le train (Clopes etc..).
> Quand je suis revenu, progressant comme à l'aller au travers des colonnes de section, je me suis fait harponner par un sous-officier de l'encadrement! Il m'a rappelé l'interdiction de sortir des rangs. Je lui ai répondu qu'étant en permission, j'avais bien le droit à un peu de liberté... Puis je me suis éclipsé rapidement.
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> Au moment où je montais dans la train, une main m'a saisi au col du manteau. C'était le sous-officier qui m'avait auparavant interpellé sur la place.
> Il me dit "c'est toi qui n'était pas d'accord, tout à l'heure?". J'ai été franc, je lui ai dit "oui"! Je n'aurais pas dû, mais à 15 ans on devient rebelle...
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> J'ai été ramené à l'école où j'ai passé le réveillon de Noël avec d'autres punis ou sans famille d'accueil... Nous avons eu un repas amélioré avec les moineaux tirés à la carabine, dans le quartier, et cuisinés par le sergent-chef (de la Légion) CARABELIOS...>
> Ce n'est que le lendemain de Noël que l'on m'a remis dans le train!>> Amitiés>
> JP Bariller