Deces de l'adjudant-chef Georges Janvier

Message de JP Bariller : (LA57/63)

 Je viens d'être averti du décès du dernier chef de peloton de la promotion entrée à l'EMP des Andelys en 1957 (donc la mienne): l'adjudant-chef Georges Janvier, qui est resté aux Andelys depuis son départ de l'armée en 1958, jusqu'à nos jours.​Je suis attristé par cette nouvelle, car  en plus de ce que nous lui devions tous collectivement, il était ensuite devenu mon correspondant jusqu'à mon départ de l'école en 1963, à destination d'Autun.N'étant toujours pas remis physiquement d'un accident d'escabeau de l'an passé, je ne pourrais malheureusement pas me rendre à ses obsèques, mais je suis certain que quelques uns de nos camarades d'école, de toutes les promotions l'ayant connu, sauront s'y rendre....Aussi je demande à Bernard Moreaux de ben vouloir diffuser largement ce message, pour que le maximum d'anciens soit prévenu

Bien amicalement

Message Bob Faivre : Cérémonies à Clavières et au Mont Mouchet les 24 et 25 juin.

l’hôtel Les PLANCHETTES de Saint-Flour, à réserver individuellement par les personnes qui participeront à ce RDV.
Le faire dès à présent pour que les participants soient réunis sous le même toit. Me confirmer par e mail pour que je puisse faire le point de la situation. Bob Faivre.

HÔTEL – RESTAURANT

7, rue des Planchettes
15100 SAINT FLOUR Cedex
Tél.: 04 71 60 10 08
Email : info@hotelrestaurantlesplanchettes.fr

➢ En chambre "CONFORT+": chambre avec 1 grand lit ou deux lits, sanitaires dans la chambre (douche & WC, téléphone direct et TV). 8 chambres dont 7 à 2 lits
➢ En chambre "CONFORT": chambre avec 1 grand lit ou deux lits, sanitaires dans la chambre (douche&WC).
42 chambres dont 14 à 2 lits
➢ En chambre "STANDARD": chambre avec 2 ou 3 lits individuels, sanitaires à l'étage. 18 chambres à 2 lits +
2 chambres à 3 lits

➢ Chambre seule : par chambre et par jour TARIFS*
⬥ En chambre « CONFORT+ »: 59,00 € en chambre triple
 49,00 € en chambre double ❒
⬥ En chambre "CONFORT": 49,00 € en chambre triple
 39,00 € en chambre double ❒
⬥ En chambre "STANDARD": 41,00 € en chambre triple
 31,00 € en chambre double ❒
➢ Petit déjeuner : 6 € par personne ❒
➢ Demi-pension : par personne et par jour
⬥ En chambre "CONFORT+": 59,00 € en chambre individuelle
 49,00 € en chambre double ❒
⬥ En chambre "CONFORT": 51,00 € en chambre individuelle
 41,00 € en chambre double ❒
⬥ En chambre "STANDARD": 46,00 € en chambre individuelle
 36,00 € en chambre double ❒
➢ Pension complète : par personne et par jour
⬥ En chambre "CONFORT+": 71,00 € en chambre individuelle
 61,00 € en chambre double ❒
⬥ En chambre "CONFORT": 63,00 € en chambre individuelle
 53,00 € en chambre double ❒
⬥ En chambre STANDARD": 58,00 € en chambre individuelle
 48,00 € en chambre double ❒
➢ Taxe de séjour: 0,50 € par personne et par jour (2017)
 * Tarifs valable pour un minimum de 25 personnes/ Taxe de séjour non incluse !

Décès de Jean Bouloumié, dépose des cendres.

" La cérémonie de dépose des cendres de Jean Bouloumié aura lieu le 31 juillet à 11h30 au cimetière Saint Romain de Cenon, près de Bordeaux. Il n'y aura pas de cérémonie religieuse. Son fils, Olivier a pris contact avec les AET de Bordeaux qui seront présents avec un drapeau.  L'éloge sera dit par Olivier. Compte tenu du passé Africain de Jean, des délégations de Conakry, du Gabon et de Djibouti, et d'autres peut-être, seront présentes. Il serait bien qu'une représentation des AET des Andelys et de Normandie participe à cette cérémonie. Pour ceux qui pourraient s'y rendre, merci de nous en tenir informés." Jacques Massiat.

Asssociation nationale des anciens enfants de troupe

Section AET Les Andelys Normandie

Blog Les Andelys : http://emp-les-andelys.blogspot.com/

Page Facebook : https://www.facebook.com/emplesandelys

Message de Bob Faivre : Prochaines cérémonies à Clavières et au Mont Mouchet les 24 et 25 juin.

Décès de Jean Claude Quillay (LA 59/63)

De Jacky Vitry : "Une bien triste nouvelle le décès de Jean Claude.
Je me rappelle parfaitement de lui. Nous sommes arrivés ensemble en 6ème M2 en septembre 1959 tout comme Jean Yves Delanne. Jean Claude était un gentil camarade passionné de foot  ce qui générait de grandes discussions avec Costard (à sa gauche sur la photo de 6ème), Hilairet et Krier autres fanas.
Pour ceux qui ne rappellent pas de son visage de breton en 6ème, je joins 2 photos, celle de notre classe où j'ai cerclé son visage et une autre prise au stade de l'EMP avec ses camarades footeux JC. Krier et S.Hilairet.
Amitiés à tous et une pensée particulière pour Jean Claude et toute sa famille qui est dans la peine."

De Louis LE BLAY :

"Et voilà enterré notre Jean Claude Quillay : dix drapeaux autour de son cercueil , ses cinq médailles dessus ...une belle messe . .../...

A la fin de la messe, récapitulatif de sa carrière : né à Landau d'un père militaire , enfant de troupe à douze ans à l' Ecole Militaire Préparatoire d'enseignement général  des Andelys de 1959 à 1963, socle de sa vaste culture  ; Ecole militaire technique d'Issoire puis l'Allemagne comme maréchal des logis . Excellemment noté, il franchit tous les grades: maréchal des logis chef , adjudant , adjudant-chef et  major dans les postes délicats de gestion du personnel ou du matériel . ( Je cite ) . Deux séjours outre-mer : Djibouti à la gestion du matériel et Cameroun à la gestion du personnel où il se fait remarquer par son tact et son sens de l'humain . Puis prend sa retraite et passe dans la réserve avec le grade de Lieutenant et atteint la limite d'âge de la réserve comme Capitaine . Fait du bénévolat dans l'humanitaire , preuve de sa générosité . Je cite toujours . On parle de sa grande culture en matière d'histoire , de sa passion pour la politique et le sport . D' ailleurs il fut dans une équipe championne du département aux Andelys ..../..."

Michel Dufils : Dernière lettre à un ami (Jean Bouloumie (LA1957/... ) décédé le 15 décembre 2016)

Dernière lettre à un ami

Eté 1957 – C ’est par l’entremise de nos mères que nous sommes devenus amis.  Pendant que nous piochions, à la caserne Tilly d’Evreux, pour le concours d’admission aux EMP, elles s’étaient entendues, confiantes dans notre réussite, pour que nous puissions nous revoir et devenir ainsi copains ; maternelle sollicitude tant la renommée des écoles d’enfants de troupe était celle d’une dure discipline. J’ai refait cette année, en famille, un pèlerinage à Cormeilles, ce joli village normand où tu habitais, me remémorant cette rencontre d’il y a 60 ans. Je n’imaginais pas que ce clin d’œil au passé puisse être prémonitoire.                                                                                                                           Septembre 1957 – Les « bleus » que nous sommes se retrouvent dans la même classe, Ouf !                                                                                                           

                                                          A l’EMP, une voie royale nous était tracée ; à chacun, selon sa volonté, de prendre le chemin qui lui convenait. Pour moi, ce fut « bourlinguer » sur les mers du globe ; pour toi, c’est l’Afrique qui va t’accaparer pendant près de 30 ans, après que de longues et difficiles études vont faire de toi un médecin de l’armée française.  C’est à Autun que cette vocation t’est venue, un prof va te passionner avec un sujet de sciences naturelles qui sera ton …tirage au sort pour l’épreuve orale d’entrée à l’Ecole de santé navale de Bordeaux.                                                                                                      Tu as aimé l’Afrique, tu l’as servie, pour l’honneur de notre pays.  A M’Dendé, au Gabon, à M’Gaoumdéré, au Cameroun, tu vas parcourir la brousse, pour dépister, vacciner, créer des villages médicaux pour raccourcir les distances, recevoir les étudiants en médecine, soigner les populations qui t’étaient confiées, « en vrai patron ». Tu y as, aussi, vécu les dramatiques évènements du Rwanda et, confronté à des risques d’exactions sur certains de tes patients, tu as prévenu « que tu ferais la police toi-même »si de telles velléités se présentaient ; défenseur des faibles en toutes circonstances. Acteur d’une noble mission, tu savais recevoir, avec humilité, de vivantes leçons : lors d’une de tes premières interventions chirurgicales en brousse, ton infirmier africain va guider ta main, anticipant ton geste, l’accompagnant d’un « bon conseil » ; tu en étais encore ému en me racontant l’anecdote. Une première alerte de santé, à Conakry en Guinée et c’est le rapatriement au Val de Grâce. L’âge fatidique de la retraite arrive, il n’y a pas de dérogation à la règle militaire et tu le regrettes « j’aurais pu servir encore quelques années en Afrique ». Toujours servir !                                                                                                  2012 : Il a fallu 50 années avant que l’on se revoie. J’avais retrouvé ton nom en consultant, par hasard, le blog de l’EMP des Andelys. Et c’est ainsi que j’ai retrouvé « Boulou », personnalité de la section AET des Andelys.  Bernard Dupas, un des anciens de notre section m’écrit « c’était un personnage attachant, dévoué à la cause AET ». Madame le maire des Andelys (d’un précédent mandat municipal) en fera l’expérience :  peu encline à valoriser le passé de notre école d’enfants de troupe, elle doit se souvenir de la façon dont tu as brocardé sa réticence à nommer une « rue des Enfants de Troupe » près de notre école.                                        

                                     2013- Tu as passé ta vie à soigner les autres et tu as oublié de penser à toi.  Ta santé a vacillé, avec un diagnostic brutal. Lorsque j’allais te voir à l’hôpital, tu me présentais toujours au personnel médical « voilà un ami, un vieil ami, on a passé ensemble le concours d’entrée aux enfants de troupe » Je souriais, non sans fierté, à cette apostrophe amicale mais je doutais que ces jeunes personnes sachent vraiment ce que signifiait « enfant de troupe ».  Néanmoins, médecin-colonel AET, elles découvrirent que ça voulait dire :« personne de caractère ».  L’infirmière qui a fait ta première dialyse s’en rappelle : c’était ma nièce ! une « Martine, infirmière » comme ton épouse.                                                                              Car du caractère tu en as toujours eu : en classe de 1ère, ne t’étais tu pas « accroché » avec le commandant de l’école (sans suite m’as-tu rassuré) mais il fallait oser !                                                    C’est avec courage que tu as affronté cette situation douloureuse de la maladie, masquant crânement ta souffrance morale, mais bien déterminé à redevenir autonome.                                                                                                C’est avec joie que tu m’as salué comme ton successeur de trésorier à notre section, heureux que ce soit « un gars de la promo 57, les meilleurs !» as-tu ajouté. Dernière référence à notre entrée commune chez les « enfants de troupe ».                                                                                                                       Décembre 2016 – Tu es hospitalisé pour une coronographie, tu rassures ton épouse, « je t’appelle dès que je sors, »… c’est l’hôpital qui rappellera Martine…. Notre « Boulou » s’en est allé.                                                                                                                                                       A Martine, à Olivier, Fabien, Martial, vos enfants, au nom de tous les AET, je redis notre tristesse et présente nos sincères condoléances. Adieu, l’ami Jean !

Michel Dufils, trésorier de la section Les Andelys et Normandie 

Livre d'un AET : Claude Martin (1959AU/1966/Aix/1968)

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Cet index vous conduit sur la présentation du livre de cet AET 

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